(Le Nouveau Gabon) - Netflix, le leader mondial du streaming et de la vidéo à la demande, met à la disposition des étudiants en cinéma et audiovisuel du Gabon entre autres, des bourses d’études financées par son fonds Netflix Creative Equity Fund (CESF).
Le programme est destiné à fournir une aide financière sous forme de bourses complètes dans des établissements d’enseignement supérieur partenaires, dont l’Institut Philippe Maury de l’audiovisuel et du Cinéma (IPMAC-Groupe EM Gabon-Université). C’est une université gabonaise dédiée à la formation initiale et continue, en présentiel et en distanciel, dans les domaines de la communication, du journalisme de l’audiovisuel et du cinéma.
Ainsi, le CESF couvrira les frais de scolarité, de logement, de fournitures et les dépenses courantes dans des écoles partenaires sélectionnées. Le but de Netflix étant « d’aider les créateurs ambitieux des pays d’Afrique » à obtenir des qualifications et des formations reconnues, indique un communiqué de Netflix.
En dehors du Gabon, les établissements d’enseignement supérieur partenaires au Nigeria, au Bénin, au Ghana sont également concernés par ces bourses qui s’adressent globalement aux créateurs des pays d’Afrique de l’Ouest ou centrale (à l’exception de la République démocratique du Congo (RDC).
Pour être éligibles, les candidats doivent en plus d’être des citoyens et résidents de l’un des pays d’Afrique de l’Ouest ou centrale (à l’exception de la RDC), suivre des cours liés à la télévision et la cinématographie dans l’une des institutions partenaires. Aussi, ils doivent être inscrits dans l’une des institutions partenaires retenues (priorité aux étudiants qui sont à une ou deux années de l’obtention de leur diplôme), apprend-on. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 4 septembre 2022.
Le Creative Equity Scholarship Fund (CESF) a été lancé en 2021 par Netflix. L’initiative couvre les demandes à partir de l’année universitaire 2022 et s’inscrit dans le cadre des efforts de Netflix pour investir dans les industries créatives africaines et pour que des voix plus diverses et nouvelles racontent les histoires africaines.
SG