(Le Nouveau Gabon) - Comment l’administration gabonaise peut-elle contribuer, sinon être au volant de la relance de l’économie du pays ? C’est la question que s’est posée la directrice du secteur gouvernance de la Banque mondiale, Chiara Bronchi.
Le destin de l’administration publique a été au centre d’une séance de travail entre le ministre de la Fonction publique, Jean-Marie Ogandaga, et une délégation d’experts de la Banque mondiale, à l’effet de trouver des pistes qui permettront au capital humain de redresser les torts qui lui sont attribués, question de retrouver les voies de la performance et d’améliorer sa productivité.
«L’administration ne doit pas seulement être un poids ou un moulin que le pays porte pour simplement payer les salaires. L’administration gabonaise doit être une administration de développement», souligne Jean-Marie Ogandaga.
Dans cinq ou 10 ans, relève l’experte de la Banque mondiale, il est question de donner à l’administration gabonaise des outils lui permettant de renforcer sa capacité à rendre service et à produire des résultats.
SeM